11. Quand l’atelier des mots d’amour ouvre ses portes en grand…

– Je vous écoute… – Voici les feuilles sur lesquelles j’étais venu travailler. Elles sont au format 21 x 29,7, et ma traduction, à partir de l’original allemand, en couvre douze, rien que douze. Il s’agit d’un texte qui porte le titre : L’inconscient. Sigmund Freud l’a publié en 1915. Nous commencerons par cela, après que … Lire la suite 11. Quand l’atelier des mots d’amour ouvre ses portes en grand…

10. De l’art d’accueillir la main qui vous est tendue

(Tout à droite, immédiatement au-dessus des deux véhicules de couleur claire, apparaissent les stores violets de chez Marionnaud…) Cécile – Michel… à l’intérieur. Moi, du côté de la baie qui donne sur la rue adjacente ; elle, dos tourné à la salle, avec vue sur Marionnaud… Deux petits crèmes… – Je vous tiens. Je ne vous … Lire la suite 10. De l’art d’accueillir la main qui vous est tendue

9. Renaître à ses rêves et à leur élaboration opiniâtre dans un monde porté par de tout autres discours

Pour me permettre de dessiner, en toute liberté d’inspiration, ma trajectoire fictive – au sens du déploiement intégral des articulations symboliques dont j’étais porteur depuis le tout début des années 2000 -, Françoise aura totalement disparu de mon horizon, tandis que Chantal se sera éloignée des beaux bâtiments du deuxième arrondissement de Paris pour ne … Lire la suite 9. Renaître à ses rêves et à leur élaboration opiniâtre dans un monde porté par de tout autres discours